A linstar de ce patron dun institut de beauté, de nombreux commerçants sont contents aprèla publication de la liste des magasins autorisés à ouvrir dans les départements reconfinés.

“Lundi, à la première heure je saisis le conseil d’État en référé”. Comme de nombreux entrepreneurs, Jean Michel Karam est un patron en colère après la publication de l’arrêté qui précise les commerces autorisés à rester ouverts dans les seize départements reconfinés.

A la tête du groupe de beauté IEVA qui a acquis en 2020 l’atelier du Sourcil, soit 112 boutiques et 550 salariés il juge incompréhensible que les coiffeurs puissent ouvrir et pas ses instituts de beauté.

“Avec les coiffeurs, nous avons le même code NAF, nous exerçons le même métier. Eux peuvent ouvrir et pas nous! C’est une question de poils? interroge-t-il, ironique. S’ils sont sur la tête vous pouvez travailler. Si ils poussent ailleurs vous ne pouvez pas. C’est du grand n’importe quoi.”

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“C’est à celui qui crie le plus fort pour rester ouvert ou alors le Premier ministre jette des dés et, en fonction des chiffres, il autorise ou pas telle activité à travailler” poursuit Jean Michel Karam, furieux.

 

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